« Juliette Feck commence à l’Accademia di Belle Arte di Palermo, elle y développe un gout prononcé pour la photographie et nourrit un univers très personnel, quasi obsessionnel, compilant des images de perte, de casse et de fracas, souvent violentes et étroitement liées à la mort.

De retour en France elle intègre l’ESADHaR et continue ses recherches mêlant sculptures et photographies avant d’obtenir son DNSEP avec les félicitations du jury en 2012.
Premier prix de la résidence de la Villa Calderon l’année suivante elle continuera ses recherches, entre Marseille et Londres, Berlin et Bruxelles, sur les changements d’état et la condition des choses dans l’étroite relation qu’ils entretiennent avec l’humain. Son travail embellit les refus de l’homme à accepter certaines réalités de l’existence. Ses vanités se retrouvent en des formes contemporaines, oscillant entre le mystique et le prosaïque, l’éthéré et l’ancré.

Léo Marin  »